Le 26 février 2025, la Commission européenne a publié sa proposition de directive « omnibus » qui vise à simplifier la publication d’informations en matière de durabilité, le devoir de vigilance et la taxonomie verte. Les directives CSRD du 14 décembre 2022 et CS3D du 13 juin 2024 relatives à l’obligation de publication d’un rapport extra-financier pour certaines entreprises et au devoir de vigilance sont principalement visées.
Découvrez comment la loi « Industrie verte » impacte les fusions et acquisitions (M&A) en 2024. Explorez les opportunités et les défis pour les entreprises industrielles dans le cadre de cette transition écologique.
La Lettre des juristes d’affaires
Dans cet article, publié par La Lettre des juristes d’affaires, Patricia Savin et Yvon Martinet explorent la récente transposition de la directive CSRD en droit français par l’ordonnance n° 2023-1142 du 6 décembre 2023.
À partir de janvier 2024, les grandes entreprises devront divulguer des informations de durabilité certifiées par des tiers indépendants ou des commissaires aux comptes, une obligation étendue aux PME et entreprises hors de l’UE à partir de 2026.
L’ordonnance rationalise les mécanismes de transparence extra financière, adopte le principe de double matérialité, et élargit la certification à des auditeurs tels que les avocats.
Elle instaure également la Haute autorité de l’audit pour superviser et sanctionner.
Découvrez comment cette mesure aligne la législation française sur les normes de la CSRD, mettant en avant fiabilité, transparence et cohérence des informations de durabilité.
Lefebvre Dalloz
L’ordonnance relative à la publication et à la certification d’informations en matière de durabilité, publiée en décembre dernier, maintient les principes de la CSRD.
Les entreprises doivent maintenant s’organiser pour intégrer les nouvelles normes de durabilité, notamment en se conformant au principe de double matérialité.
La différence significative avec la DPEF (Déclaration de Performance Extra-Financière) réside notamment dans la précision accrue des rapports de durabilité, avec l’analyse des normes ESRS (Environmental, Social, and Governance Reporting Standards). La DPEF partait des modèles d’affaires des entreprises. Avec la CSRD, chaque entreprise doit analyser toutes les lignes des ESRS, puis déclarer ce qui est matériel au regarde de ses activités. Il ne s’agit donc plus d’une simple narration du modèle d’affaire.
L’accompagnement des entreprises est donc crucial dans ce processus.
La semaine juridique Entreprise et affaires Lexis Nexis
Avec la publication de l’acte délégué de la directive CSRD, la mise en œuvre du reporting sur la durabilité se concrétise pour les entreprises entrant dans son champ d’application.
Bien qu’il assouplisse les exigences en matière d’information sur la durabilité, pierre angulaire de ce nouveau reporting, ce texte est une petite révolution.
Afin d’améliorer la comparabilité des informations sur la durabilité et de les uniformiser pour plus de clarté et de fiabilité, l’acte délégué établit les premières normes d’information dits « ESRS » (European Sustanability Reporting Standards) qui vont s’appliquer à toutes les entreprises relevant de la directive CSRD quel que soit leur secteur d’activité. D’autres actes délégués devraient aussi être adoptés avec une approche sectorielle.
Le texte publié qui aborde tous les sujets environnementaux, sociaux et de gouvernance est cependant bien moins exigeant que le texte proposé par l’EFRAG. En effet, le caractère obligatoire du rapport sur la durabilité est tempéré par le recours au mécanisme de l’analyse de la matérialité qui signifie que hormis certaines informations, l’entreprise peut décider, à l’issue d’une analyse menée par ses soins, de ne pas mentionner dans son rapport, certaines informations qu’elle juge non significatives au regard de son activité.
Reste maintenant à transposer la directive en droit français, une ordonnance devrait voir le jour d’ici peu.
(Article accessible aux abonnés.)
Patricia Savin intervient lors de la clôture de cette manifestation sur le thème « Territorialiser la transition ».
Une matinale animée par Patricia Savin, dont l’enjeu est d’aller explorer les opportunités du droit national à pousser les ambitions du nouvel accord-cadre mondial.
Intervention de Patricia Savin.
Propos introductifs et animation par Patricia Savin.
Réalisé en partenariat avec Orée et Longevity Partners, ce livret est le quatrième volet de la nouvelle collection « Économie circulaire et création de valeur » qui présentera au total 8 valeurs.Les livrets de cette nouvelle collection ont vocation à restituer les travaux du Groupe de Travail Économie circulaire qui s’est intéressé pendant 2 ans à la manière dont l’économie circulaire contribue à créer de la valeur pour les organisations et les territoires au sein desquels celle-ci est déployée.
Revue Droit de l’Environnement
Sur la base du Pacte vert européen, l’Union européenne s’est engagée à devenir le premier continent neutre pour le climat d’ici à 2050 et à réduire ses émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% d’ici à 2030 (vs 1990). Pour parvenir à ces objectifs et afin de s’inscrire dans le cadre posé par l’Accord de Paris visant à rendre les flux financiers compatibles avec un développement à faible émission de gaz à effet de serre et résilient aux changements climatiques, la Commission européenne a entamé, dès 2016, une réflexion sur la notion de « finance durable ».
Yvon Martinet, Patricia Savin et Nina Latorre de Itturiecha décryptent et expliquent les 10 mesures majoritairement focalisées sur l’amélioration de la transparence du marché financier, prévues par la Commission européenne.
L’ordonnance n° 2017-1180 du 19 juillet 2017, transposant la directive européenne 2014/95/UE du 22 octobre 2012 sur le reporting extra-financier, a introduit à l’article L. 225-102-1 du code du commerce une obligation de déclaration annuelle de performance extra-financière (DPEF), remplaçant le rapport RSE. L’obligation de déclaration annuelle de performance extra-financière constitue aujourd’hui la colonne vertébrale de la responsabilité sociétale de l’entreprise. Son spectre va grandissant, notamment sous l’impulsion de projets européens.
Explications de Raphaël Romi et Patricia Savin.
Propos introductifs et animation de Patricia Savin
DS Avocats a conseillé Framatome lors de l’acquisition des filiales du groupe Efinor opérant sur les secteurs de l’énergie nucléaire et navale de défense en France et au Royaume-Uni.
Organisé par le Club des avocats environnementalistes, Patricia Savin et Yvon Martinet interviendront au sujet du « Droit pénal de l’environnement : nouvelles infractions » lors de ce colloque.
Matinale sur la réglementation environnementale organisée par l’Ordre des Avocats de Paris et ORÉE en partenariat avec DS Avocats.
Matinale organisée par AFILOG et ORÉE en partenariat avec DS Avocats.
Épuisement des ressources naturelles, érosion de la biodiversité, réchauffement climatique autant de sujets qui conduisent à l’adoption de textes réglementaires contraignants pour les acteurs économiques.
Mais dans le même temps, face aux questions du plein emploi, de la souveraineté énergétique et avec le retour d’une société de loisirs après deux ans de confinement, comment concilier la nécessaire sobriété des ressources avec les attentes de croissance et d’augmentation de pouvoir d’achat ?
Comment concilier le développement des EnR avec l’indispensable indépendance énergétique et des besoins en énergie toujours plus importants ?
Patricia Savin partage son point de vue dans la revue Droit de l’Environnement.
Événement de lancement d’un guide, organisé par ORÉE en partenariat avec DS Avocats.
Patricia Savin intervient lors d’une matinale juridique organisée par ORÉE en partenariat avec DS Avocats.
Lancement d’un nouveau Groupe de Travail organisé par OREE en partenariat avec DS Avocats.
Lexbase Hebdo
Avec l’adoption de ses premiers décrets d’application, la loi AGEC se situe dans la continuité d’un mouvement favorable au tri des déchets. En particulier, elle réorganise et modifie la réglementation applicable à la responsabilité élargie du producteur.
Patricia Savin et Raphaël Romi font le point sur les nouveautés dans Lexbase Hebdo.
Patricia Savin, Présidente d’Orée, y livre son point de vue en s’appuyant sur les récentes évolutions législatives.
DS Avocats a conseillé la société Benoît Promotion, grossiste alimentaire dédié principalement aux réseaux de cinémas et salles indépendantes, dans son acquisition de Supergroup auprès de son propriétaire, le Groupe Logista France.
Patricia Savin intervient lors d’une table ronde sur les nouveaux horizons de l’économie circulaire.
Comment engager les dirigeants et les administrateurs sur les sujets environnementaux ?
Comment intégrer les enjeux environnementaux dans la stratégie de l’entreprise et engager les investisseurs ?
Matinale logistique durable organisée par AFILOG et OREE en partenariat avec DS Avocats.
Ce livret « Nouveaux Modèles Économiques » analyse les leviers de l’économie circulaire permettant d’accélérer la transition vers des modèles économiques durables. La réflexion autour de ces modèles répond à un double enjeu : l’essoufflement du système industriel actuel et la préservation des ressources.
Ces nouveaux modèles innovent à l’une des étapes de création, capture, et partage de la valeur créée par l’entreprise et proposent une nouvelle définition du rôle de celle-ci.
Qu’est-ce qu’une espèce protégée ? Dans quel cas peut-on obtenir une dérogation espèces protégées » (DEP) ? Quelle procédure suivre ?
ParisWorkPlace by SFL
Dans le cadre de son 8e baromètre avec SFL (Société Foncière Lyonnaise) et GROUPE IFOP, ParisWorkplace a interrogé 1600 salariés sur leur perception vis-à-vis de leurs bureaux.
Patricia Savin est l’une des 16 experts interviewés pour éclairer les résultats de cette 8e édition.
Cycle de réflexion « Économie circulaire et création de valeurs » mené par ORÉE de 2018 à 2021.
Le livret « Innovation durable », réalisé par ORÉE avec le soutien d’Eiffage et de DS Avocats, recense les différents leviers d’innovation proposés par l’économie circulaire afin d’accélérer la transition de nos économies et de nos sociétés vers davantage de durabilité.
La revue Droit de l’Environnement
Une tribune de Patricia Savin dans la revue Droit de l’Environnement à l’occasion du congrès mondial de l’Union internationale de la conservation de la nature (UICN), qui s’est tenu à Marseille du 3 au 11 septembre 2021.
La Revue Droit de l’Environnement
Un décryptage de la nouvelle loi Climat et Résilience du 24 août 2021 réalisée par notre équipe Environnement et Développement durable :
Lexbase Hebdo Edition Publique n°636 du 2 septembre 2021
La loi « AGEC » a introduit plusieurs nouveautés relatives à la gestion des déchets de chantier de bâtiment :
Patricia Savin fait le point sur la gestion des déchets de chantier depuis la loi AGEC.
Notre équipe Environnement a été maintes fois primée en 2021, en vidéo.
Économie circulaire et création de valeurs
En partenariat avec OREE, Citeo et GRDF, nous vous proposons le livret « Préserver et restaurer l’environnement grace à l’économie circulaire, issu du cycle de réflexion « Économie circulaire et création de valeurs » menépar ORÉE de 2018 à 2021.
Patricia Savin a rédigé l’avant-propos juridique du livret qui présente l’approche globale et transversale que la loi n°2020-105, relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi AGEC entend promouvoir.
Après un état des lieux, la définition d’un cadre de réflexion pour penser les apports de l’économie circulaire à la réduction des impacts environnementaux, le livret présente les outils permettant de passer à l’action.
L’Observateur de Bruxelles
Dans cet article paru dans dans L’Observateur de Bruxelles, Patricia Savin écrit : ❝Le Parlement européen a adopté en mars un rapport d’initiative contenant une proposition de résolution pour l’élaboration d’une directive relative au devoir de vigilance et à la responsabilité sociétale des entreprises.(…)Dans le but de responsabiliser les groupes de sociétés, le droit international plaide en faveur de l’instaurationd’un devoir de vigilance des sociétés-mères basé sur une approche volontariste (…) mais un encadrement international plus contraignant, par le droit positif, se profile.❞
L’article est accessible aux abonnés.
Ce livret recense les axes de réponses proposés par l’économie circulaire pour limiter les impacts liés aux perturbations majeures affectant 4 processus biophysiques planétaires : le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, la perturbation des cycles de l’azote et du phosphore et le changement d’occupation des sols.
Il croise contenus académiques, regards d’experts et retours d’expérience, tout en proposant des outillages concrets afin de mettre en œuvre de manière effective des démarches d’économie circulaire.
Patricia Savin signe l’avant-propos juridique du livret. Réalisé avec le soutien de Citeo, GRDF et DS Avocats, ce livret est le premier de la nouvelle collection « Économie circulaire et création de valeur » d’ORÉE.
Business Immo
Parmi les différents usages du foncier, l’un d’entre eux a longtemps été passé sous silence : celui de la biodiversité. Mais le vent est peut-être en train de tourner que ce soit à travers le plan de relance mais aussi de récentes évolutions législatives.
Lexbase – Hebdo édition publique n°627 du 27 mai 2021
Il y a cinq ans était votée la loi n° 2017-399 du 27 mars 2017, relative au devoir de vigilance des sociétés mères etdes entreprises donneuses d’ordre, consacrant ainsi à l’intérieur du cadre normatif français une obligation de vigilance jusqu’à présent plutôt l’apanage des systèmes de soft law internationale.
Bien que l’étendue concrète de ces obligations nouvelles demeure encore incertaine, elle se fonde toutefois sur un devoir d’information étendu imposant la formalisation publique des activités et des relations commerciales. Des éclaircissements devraient toutefois intervenir avec le développement du contrôle contentieux et la création prochaine d’un devoir de vigilance au niveau européen.
Retrouvez le replay du webinar « Loi ASAP et réforme du régime juridique des ICPE » du 07 mai 2021 organisé par Afilog/ORÉE en partenariat avec DS Avocats.
Patricia Savin participe à ce colloque organisé par Pharmaceutiques et BE-CONCERNED autour du Plan National Santé-Environnement 4 et de l’articulation entre biodiversité et produits de santé.
Sous la modération de Aude Solveig-Epstein, Maître de conférences en droit privé de l’Université Paris-Nanterre, Patricia Savin participera, aux côtés de Stéphanie Smatt-Pinelle, Directrice Juridique d’ORANO à la session sur la compliance environnementale : de l’importance d’une gouvernance d’entreprise durable.
Actu Environnement
La taxonomie verte définit au niveau européen la notion de développement durable, offrant un cadre unifié pour les entités chargées de missions d’évaluation environnementale, agences de notation extra-financière ou organismes tiers indépendants (OTI) pour orienter les investissements et évaluer les activités des entreprises.
Patricia Savin interviendra lors du Colloque annuel du Master II Droit Privé Général de l’Université Paris II – Panthéon Assas.
La revue du développement durable
Le passage à une économie circulaire montre que le droit est en action pour protéger l’environnement cependant qu’en est-il de la comptabilité traditionnelle ?
Elle qui ne prend pas en compte les services rendus par la nature et les impacts de l’entreprise sur cette nature…Ceci nous amène alors à la question :
Droit et Comptabilité: alliés ou frères ennemis pour construire le Monde post-covid ?
Dans cette tribune parue dans la Revue du développement durable, Patricia Savin nous fait part de ces questions ainsi que de la nécessité de réformer la comptabilité traditionnelle.
Cette matinale, menée en partenariat avec Afilog/ORÉE, explorera les incidences de ces changements juridiques pour les exploitants d’ICPE et notamment les professionnels de la logistique.
Patricia Savin fournira les propos introductifs et le point juridique durant cette matinale Barreau de Paris / OREE relative à la gestion des déchets du bâtiment.
Cette matinale de la Commission Ouverte « Développement Durable » du Barreau de Paris explorera les incidences pénales de la loi du 16/12/2020 réformant la justice environnementale.
EVÉNEMENT REPORTÉ – DATE À VENIR
Cette matinale menée en partenariat avec Afilog/ORÉE explorera les incidences de ces changements juridiques pour les exploitants d’ICPE et notamment les professionnels de la logistique.
Bulletin Spécial Covid-19 Africa Janvier 2021 – Académie Africaine de la Pratique du Droit International
Officiellement constaté dès 1979 lors de la Première conférence mondiale sur le climat organisée à l’initiative du Programme des Nations Unies pour l’environnement, l’accroissement constant des émissions de C02 dans l’atmosphère constitue une problématique qui s’est progressivement imposée au cœur du débat public. Ainsi, si le constat est aujourd’hui établi, les contours d’une stratégie efficace doivent être dessinés.
Du protocole de Kyoto de 1997 à l’Accord de Paris de 2015, les États s’engagent activement sur la scène internationale afin de lutter contre la problématique du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources naturelles.
Afin d’enrayer la courbe alarmante annoncée par le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), l’Union européenne conduit une politique ambitieuse fondée notamment sur le Paquet énergie-climat de 2030 visant à une réduction des émissions d’ici 2050. Néanmoins, si de nombreuses politiques publiques sont mises en place, leur réalité pratique nécessite une implication concrète de tous les acteurs économiques.
Dans ce contexte l’entreprise est apparue comme un acteur déterminant dans l’accompagnement du changement et la mise en application des politiques publiques. Véritable force vive de la société, il n’est passeulement attendu de ces acteurs d’accompagner la maîtrise du changement climatique mais également de l’initier. A cet égard, les initiatives concrètes des entreprises se multiplient comme en témoigne One Planet Business for Biodiversity ; Ambition 1,5 degrés Entreprises présentées lors du sommet Action Climat organisé par les Nations Unies en septembre 2019 ou le lancement d’une «consultation citoyenne européenne pour repenser le rôle de l’entreprise dans la société» par les sociétés Danone, Maif et Pfifer France en septembre 2020.
Ainsi, la vision de Miltron Friedman selon laquelle la seule responsabilité du monde des affaires est celle «d’utiliser ses ressources et les engager dans des activités destinées à accroître son profit» est révolue. Aujourd’hui, la responsabilité de l’entreprise est à la fois sociale et environnementale.
La responsabilité sociale des entreprises, définie en 2001 par la Commission européenne comme «un concept qui désigne l’intégration volontaire, par les entreprises, de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes» était initialement caractérisée par son approche non contraignante.
Néanmoins, ces dernières années ont été marquées par la création de normes à portée obligatoire qui démontrent la volonté du législateur d’impliquer concrètement l’entreprise dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Ce changement de paradigme trouve donc une réalité pratique au moyen de nouveaux instruments juridiques puissants : la déclaration de performance extra financière et la taxonomie verte.
Depuis 2017, DS Avocats est accrédité par le Comité français d’accréditation (COFRAC) pour délivrer l’avis de vérification des déclarations de performances extra-financières et des rapports des sociétés à mission.
Suite à sa réévaluation du Cabinet en décembre 2020, le COFRAC renouvelle l’accréditation de DS Avocats en tant qu’Organisme tiers indépendant (OTI) pour une durée de 5 ans.
RSEDATANEWS
L’association ORÉE en partenariat avec l’Ordre des experts-comptables et le WWF France, organisait le 21 janvier 2021 une demi-journée de débats animée par RSEDATANEWS sur la convergence des données financières et extra-financières pour parvenir à une Déclaration de Performance Intégrée (DPI).
A la suite de ce webinar, Patricia Savin est interrogée par Thibault Gygès de RSE Data News. « Lorsqu’il s’agit d’objectiver leur DPEF avec des données comptables et financières, beaucoup d’entreprises hésitent par crainte d’efforts supplémentaires. C’est au contraire un avantage pour illustrer leur performance RSE globale et anticiper les nouvelles exigences liées à la taxonomie verte européenne. »
Introduit par la loi PACTE, le statut de société à mission permet à toute entreprise commerciale d’assumer, en parallèle de son objet social, la poursuite d’un objectif sociétal et environnemental. Lors de ce webinaire organisé par OREE, Patricia Savin présente un focus législatif sur la raison d’être et les sociétés à mission.
Ce webinaire, organisé par l’association ORÉE en partenariat avec l’Ordre des experts-comptables et le WWF France, s’adresse en particulier aux décideurs publics, privés, et associatifs. Il leur permettra de comprendre le fonctionnement de la DPI, ainsi que ses avantages pour les entreprises, pour les institutions financières et pour les organisations de la société civile, grâce aux interventions de professionnels de ces différentes catégories d’acteurs déjà nombreux à soutenir ces propositions.
LexBase Hebdo édition publique n°611 du 14 janvier 2021 : Environnement
L’année 2020 marque l’annonce de la révision de la Directive 2014/95/UE du 22 octobre 2014 (N° Lexbase : L8668I4S), portant sur les informations extra-financières et le lancement de la taxonomie verte : autant d’outils juridiques portant contribution à la maîtrise du risque climatique.
[Webinar] – Dans le cadre de leur partenariat croisé, AFILOG et ORÉE proposent une matinale menée en partenariat avec DS Avocats sur la Logistique Durable : les impacts logistiques de l’objectif « zéro artificialisation nette des sols ».
Si pour le volet transport les solutions sont connues de longue date (flottes partagées, amélioration du taux de remplissage, approvisionnement local …), pour la partie immobilière les solutions sont en train de se développer : recyclage de friches, chantiers circulaires …
Business Legal Forum
Patricia Savin, Thierry Positif et Nicolas Smadja décryptaient lors du Business Legal Forum 2020 les impacts de cette nouvelle taxonomie verte pour le développement des entreprises.
La loi d’accélération et de simplification de l’action publique, dit ASAP, adopté définitivement le 28 octobre dernier, comporte de nombreuses mesures visant à assouplir le droit de l’urbanisme, de l’environnement et de la commande publique, dans un double objectif de simplifier le droit applicable et de relancer l’économie.
[Webinar] – Matinale organisée en partenariat par ORÉE et la commission Développement Durable de l’Ordre des avocats de Paris.
Le texte, désormais voté, allège la pression du droit de l’environnement sur les procédures d’urbanisme. Décryptage détaillé, alors que, sans surprise, le Conseil constitutionnel a été saisi le 3 novembre du projet de loi d’accélération et de simplification de l’action publique, dit Asap, par un groupe de plus de soixante députés.
Analyse croisée de Patricia Savin et Laura Ceccarelli-Le Guen pour Cadre de Ville.
Le 3 septembre dernier, le gouvernement a présenté son plan de relance post-Covid-19. Quelle y est la place dévolue à la transition écologique et comment peut-elle être mise en œuvre ? Eléments de réponse avec Patricia Savin, avocate associée au cabinet DS Avocats et présidente d’Orée.
Notre associée, Patricia Savin, spécialisée en Droit de l’environnement et du développement durable, signe une tribune dans la Revue Droit de l’Environnement n° 292 de septembre 2020
Dans une tribune au « Monde » un collectif d’entreprises, associations professionnelles, ONG et chercheurs propose de fusionner les informations financières, sociales et environnementales des entreprises en un seul document, la « déclaration de performance intégrée », afin de faciliter la mutation de leur « modèle d’affaires »
Tribune signée par Olivier Fages et Patricia Savin dans Le Monde
Les déblais résultant de travaux réalisés constituent des déchets dès leur sortie du site, qu’ils soient pollués ou non, et doivent être gérés en tant que tels jusqu’à leur élimination finale.
Paru dans Lexbase Hebdo édition publique n°595 du 3 septembre 2020 : Environnement
La Revue du développement durable
La loi n°2020-105 relative à la lutte contre le gaspillage et l’économie circulaire, publiée le 10 février 2020, cherche à promouvoir une prise de conscience collective sur la nécessité de transformer le modèle économique linéaire vers une économie circulaire.
De nouveaux modes de productions et de consommation sont alors encouragés autour des notions d’éco-conception, d’écologie industrielle et territoriale, d’économie de la fonctionnalité, d’achats responsables, de renforcement de la lutte contre l’obsolescence programmée, de réparabilité, de durabilité, de réemploi, de lutte contre le gaspillage alimentaire…
Un ré-examen des enjeux liés aux déchets a eu lieu, avec une attention particulière sur les responsabilités élargies des producteurs (REP) , les centres de tri, les plastiques, etc…
Retrouvez plus en détails les quelques mesures phares, décriptées par notre équipe.
Le principe de protection stricte des espèces protégées est posé depuis de nombreuses années au code de l’environnement (art. L. 411-1 et suivants).
Le département Environnement et Développement Durable deDS Avocats vous souhaite une très belle année 2020. Retour sur 1 an d’activité.
Que sont exactement les sites Seveso et à quelles obligations de maîtrise de risques sont-ils soumis ? Décryptage avec Patricia Savin, avocate associée, docteure en droit DS avocats.
Un soutien décidé des pouvoirs publics pour des filières des énergies renouvelables plus compétitives et sûres doit accompagner l’action publique en matière de transition énergétique.
Au-delà des revendications/attentes/contradictions des uns et autres, notre société et notre monde en général sont confrontés à une vraie quête de sens et recherche de valeurs
Un grand nombre de normes sont conçues pour renforcer la transition écologique. Le questionnement sur ses responsabilités individuelles et ou sociétales vis-à-vis des enjeux de développement durable de la planète relève de l’éthique, fondement de l’action des citoyens, des entreprises, des collectivités territoriales et de l’État.
ANALYSE. Nicolas Hulot a annoncé un plan de protection de la biodiversité, début juillet, contenant près de 100 mesures. Patricia Savin, avocate associée chez DS avocats, décrypte pour Batiactu les enjeux de ce texte.
Qu’est-ce que la compensation écologique ? Quels principes la gouvernent, et quelles sont les critiques qui sont exprimées à son encontre ? Le point avec maître Patricia Savin, avocate associée.
EFE Le Blog en Environnement
Depuis 2014, l’article L.512-21 du Code de l’environnement permet à tout intéressé de demander au préfet de se substituer à l’exploitant dans ses obligations de remise en état de son site industriel lors de la mise à l’arrêt définitif d’une installation classée pour la protection de l’environnement, et ce avec l’accord dudit exploitant. Les modalités d’application de cet article sont définies par le Décret du 18 août 2015, entré en vigueur le 21 août 2015.
Ce mécanisme très intéressant permet ainsi à ce tiers intéressé d’optimiser les mesures de remise en état au regard de l’usage futur auquel il destine le terrain dont il est, ou entend devenir, le propriétaire. Ce dispositif, dit du tiers demandeur ou tiers intéressé, est destiné à faciliter la réhabilitation des friches industrielles par une approche pragmatique et opérationnelle de la gestion des friches.
Ainsi, au regard de la procédure de reconversion des friches industrielles (I), ce dispositif permet d’accélérer le réaménagement de friches industrielles (II).
En pleins préparatifs de la feuille de route sur l’économie circulaire, et alors que la future loi ELAN s’intéresse aussi à une économie circulaire de la construction, Cadre de Ville interroge Patricia Savin, avocate associée chez DS et présidente de l’association Orée*, sur les modes d’intégration de l’économie circulaire dans les stratégies territoriales d’aménagement et dans la construction.
L’année 2016 a été marquée par des évolutions concernant deux mécanismes de compensation en matière environnementale : la compensation écologique et la compensation agricole. Tout d’abord, à la suite d’un processus législatif long et mouvementé, la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages a été publiée le 9 août 2016 (loi n° 2016-1087 du 8 août 2016 N° Lexbase : L8435K9B).
Quarante ans après la grande loi de protection de la nature de 1976, est adoptée la loi n° 2016-1087 du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages (ci-après « la loi »). Composée de 174 articles, cette loi est le fruit de deux années de travail, de deux navettes parlementaires, de 10 versions, de l’échec d’une commission mixte paritaire, et d’une décision du Conseil constitutionnel n° 2016-735 DC etn° 2016-737 DC du 4 août 2016.
Ce document est destiné aux élus et aux techniciens des collectivités mais également aux opérateurs (EPF, aménageurs, promoteurs, bailleurs sociaux, …). Son objectif de présenter les moyens pour sécuriser les cessions et les acquisitions de sites industriels (à l’amiable ou en préemption) en vue d’y concevoir un projet de renouvellement.
L’Humanité est aujourd’hui à une Croisée des Chemins où il appartient à chacune et chacun, individuellement et collectivement, de rendre un Avenir possible.
L’article 173 de la loi ALUR facilite la reconversion des terrains pollués : reconversion qui devrait ainsi connaître un nouvel essor, via notamment l’introduction de l’article L.512-21 du Code de l’environnement, relatif au nouveau statut de tiers intéressé, également dénommé tiers demandeur.
Patricia Savin est intervenante EFE à la conférence « Valorisation des sols pollués, comment procéder depuis la loi ALUR » des 18 et 19 mars 2015 à Paris.
Selon les termes de Loana Botezatu d’Interpol, les crimes environnementaux sont le fait de «groupes structurés, organisés, disposant de moyens modernes de communication».
Sengager au sein de Lifti consiste à rejoindre un groupe de femmes et d’hommes motivés pour contribuer aux réflexions consistant à redynamiser le foncier, et donc les territoires. Mon engagement répond à une double motivation : d’une part, celle d’avocate spécialisée en droit de L’environnement à la recherche constante d’outils « droit utile » et d’autre part, celle de présidente d’Orée, association multi-acteurs impliquée sur les thématiques biodiversité, économie circulaire et RSE.
La loi n˚ 2014-366 du 24 mars 2014, pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (N° Lexbase : L8342IZY) (dite loi « ALUR »), est intervenue pour modifier en profondeur le droit de l’urbanisme tout en faisant évoluer les dispositions applicables aux sites et sols pollués, et notamment pour renforcer l’information relative à ces sols.
La vingt-et-unième Conférence des parties signataires de la Convention Climat des Nations Unies (COP 21) s’est tenue à Paris du 30 novembre au 12 décembre 2015. A l’issue de près de deux semaines de négociations, l’Accord de Paris a été adopté et signé par les 195 parties.
La loi n˚ 2016-1087 du 8 août 2016, pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages a été publiée le mardi 9 août 2016, près de deux ans et demi après son dépôt à l’Assemblée nationale le 26 mars 2014, et près de quatre ans après le début des débats gouvernementaux.
Élevé au rang constitutionnel par la Charte de I’environnement et son article 1er « chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé », le droit a un environnement sain est égalementl’objectif des différents Plans nationaux santé environnement(PNSE) établis tous les cinq ans par le gouvernement depuisla loi du 9 août 20041
Nous sommes dans une ère de transition à tous les points de vue (écologique, économique, énergétique, géopolitique, …). La Cop 212, bien qu’ayant des objectifs précis et clairs concernant le réchauffement climatique, est aussi organisé pour poser les questions ayant conduit à cette situation, pour discuter et engager collectivement et au niveau mondial les transformations souhaitées.
La création de données massives (big data) en santé, particulièrement sensibles pour la protection de la vie privée de l’individu, implique de nouvelles perspectives notamment en matière de médecine prédictive et de médecine participative. Mais elle induit aussi de nouveaux risques relatifs à la collecte, la fiabilité, l’hébergement et l’exploitation de ces données. Au croisement entre le droit de la santé et le droit des nouvelles technologies, le dispositif légal existant se doit d’être renforcé et précisé.
Avec Arnaud Tessalonikos
Depuis novembre 2010, la norme ISO 26000 est le texte international de référence en matière de RSE. Élaborée pendant 5 ans par 90 pays et 40 organisations internationales, elle a pour spécificité d’être non certifcableSa vocation est avant tout de définir un cadre de thèmes à traiter mais elle ne fixe pas de niveaux de performances à attendre mais seulement des lignes directrices à adapter en fonction des spécificités (culturelles. géographiques, économiques, sectorielles de chaque entreprise).
Dans la continuité des Conférences des Parties à la Convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques (CCNUCC), la COP21 revêt un aspect particulièrement symbolique. Réunissant les États-parties dix ans après l’entrée en vigueur du Protocole de Kyoto, la conférence « Paris 2015 » devrait permettre aux États-parties, d’une part de dresser le bilan de ces dernières années et, d’autre part, de trouver un accord pour contenir le réchauffement climatique en deçà de 2°C.
Forte de plus de 150 membres représentant entreprises, collectivités, organismes professionnels, associations et personnalités qualifiées, ORÉE est une association reconnue pour son approche opérationnelle en faveur de l’ancrage des entreprises sur le territoire, principalement sur les enjeux environnementaux. Patricia Savin, présidente d’ORÉE, avocate associée chez DS Avocats, met en perspective la corrélation étroite entre la dynamique du territoire et celle des entreprises en matière d’économie circulaire.
Le réchauffement climatique est et sera, dans les années à venir, à l’origine de nombreux déplacements de population. La communauté internationale doit se doter d’un cadre juridique adapté au traitement de ce nouveau fléau. Un projet de Convention est en cours de discussion.
Avec George J. Gendelman
Au regard du traitement juridique réservé à l’amiante naturel, lequel repose sur un dispositif similaire à celui régissant l’amiante industriel, se pose la question de l’opportunité d’un traitement différencié.
Avec Béatrice Parance
Loi ALUR et Sites Pollués Quels changements ? Quelles perspectives ? Le 19 juin 2014 à Paris Conseil National des Barreaux. Comment le transfert de responsabilités est-il géré aux USA ? Mise en perspective du modèle américain, le « Brownfield Act » – Françoise Labrousse, avocate
Parcourez la très grande variété de publications rédigées par les avocats DS.
Suivez la vie du cabinet, ses actions et ses initiatives sur les 4 continents.
Participez aux évènements organisés par DS Avocats à travers le monde.
« * » indique les champs nécessaires
Website by Eliott & Markus
© 2025 DSAVOCATS. All rights reserved.